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Campagne du Croissant Rouge contre la cataracte : 02/06/2004  
Le bureau du Croissant Rouge Marocain de Taliouine va organiser avec l'aide de donateurs une compagne de lutte contre la cataracte pour des personnes démunies. Il demande pour cela un soutien financier :
Banque du Crédit Agricole de Taliouine TALIOUINE CL
compte numéro : T200557U651
R.I.B : 225561031200557651012130

Zoom sur l'Institut national d'oncologie : 02/06/2004  
L'Association des Amis de l'Institut National d'Oncologie (Amino) a reçu récemment un lot de matériel offert par le Comité d'Aide pour l'Humanitaire International (CAPHI). Le lot comprend des chaises roulantes, du mobilier et quelques appareils médicaux et bureautiques, qui ont été collectés auprès d’entreprises françaises par les élèves du collège Jules Verne (France).

L'Amino remplit sa mission grâce à l'aide d'organismes donateurs comme le CAPHI. En effet, elle tire ses principaux fonds de roulement des dons, des subventions et dans une mesure moindre des cotisations des membres. Toutefois, ces aides restent insuffisantes sachant que sur 35.000 à 40.000 nouveaux cas de cancer déclarés par an, seuls 5.000 viennent se soigner à l'INO.

A l'INO, 85% des patients ne peuvent pas se prendre en charge : au traitement qui peut coûter jusqu'à 60.000 DH, se rajoutent souvent les frais de déplacement et de séjour pour le patient et son éventuel accompagnateur.

De plus, l'INO étant le seul établissement hospitalier de traitement du cancer au Maroc, les malades viennent de toutes les régions. L'Amino a donc créé une structure d'accueil et d'orientation : le centre Oumnia,. Inauguré en mai 2002 et construit grâce à l'aide de donateurs, ce centre accueille quotidiennement 30 à 40 personnes atteintes par la maladie.

Pour faire connaître ses actions auprès du public et après des bienfaiteurs, l'AMINO organise tout au long de l'année plusieurs activités (festivités et manifestations de sensibilisation) pour collecter des fonds.
Une soirée de gala organisée le 9 avril dernier a permis notamment de collecter 350 000 DH qui serviront à la construction d'une unité d'hébergement pour les malades suivant leur traitement à l'INO.

Projet de réinsertion de Marocains résidant à Amsterdam : 02/06/2004  
Le projet «Et maintenant quelque chose de positif» s'inscrit dans le cadre d'un programme pédagogique de réinsertion et de réhabilitation des jeunes marginaux d’Amsterdam (Pays-Bas). Les initiateurs du projet, des parents marocains résidant dans un quartier d’Amsterdam, le bureau de la police Meer en vaart, l’Association des jeunes Oportuna, ont voulu à travers cette action montrer que ces jeunes sont capables de réaliser des projets d’envergure si les moyens leur sont donnés.

Durant 3 mois, les 24 jeunes qui y ont adhéré (Marocains pour la plupart) ont collecté et réparé du matériel composé de chaises roulantes, de lits d’hôpitaux, de jouets, de vêtements et de meubles pour écoles. Ce matériel a été transporté au Maroc et distribué par ces jeunes bénévoles, encadrés par des animateurs sociaux.

L’Association «L'Heure Joyeuse» a ainsi bénéficié d’un lot de vêtements, de jouets, de vélos et de lait en poudre. Le Centre hospitalier Ibn Rochd (CHU) de Casablanca a reçu un don composé de 44 lits, des fauteuils roulants, des béquilles ...

Ces jeunes ont visité un bidonville à Casablanca et ont remis à une centaine de familles nécessiteuses un lot de couvertures, de vêtements et de chaussures. Ils ont également visité le Centre de redressement pour mineurs où ils ont remis notamment des chaises et des effets sportifs. Enfin, ces jeunes ont mené une opération de nettoyage et de débroussaillage du parc de l'Ermitage et ont disputé un match avec les enfants de ce quartier.

Une action qui a quelque chose de positif, tant pour les bénéficiaires au Maroc que pour les jeunes donateurs qui donnent ainsi une meilleure image d’eux-mêmes !

Inauguration d'une antenne de micro-crédit à Sidi Kacem : 02/06/2004  
La fondation Banque Populaire pour le micro-crédit a entrepris dans le cadre de ses activités sociales et humanitaires, de nombreuses actions au profit de jeunes démunis désirant créer ou développer une activité génératrice de revenus. Une antenne de cette fondation vient d'ouvrir ses portes à Sidi Kacem.

La Fondation déploie son activité essentiellement en zones urbaines et péri-urbaines qui regroupent des foyers importants de pauvreté. Cependant et depuis peu, elle développe également une démarche originale en direction des populations rurales à travers la mise en place des antennes rurales.

La mission de la Fondation consiste à apporter aux micro-entrepreneurs, outre un financement adapté et progressif, un accompagnement sous forme de formation et de suivi permanent à leurs activités, avec trois objectifs : favoriser la modernisation des unités productives soutenues par son programme, faciliter le passage progressif de ces unités du secteur informel vers le secteur organisé de l'économie et concourir à la bancarisation de ses clients.

Le réseau de la fondation BPMC est constitué de plusieurs branches disséminées à travers le territoire national auxquelles sont rattachées des antennes qui répondent aux demandes de prêts. Elle peuvent accorder des prêts allant de 3.000 à 30.000 dhs, qui doivent bénéficier au développement d’activités existantes ou à la création de nouvelles unités.

Pour préparer les micro-entrepreneurs illettrés à suivre les actions de formation qu'elle organise, la fondation a mis en place un programme d'alphabétisation en collaboration avec les ONG expertes dans le domaine. C'est le cas dans la nouvelle branche de Sidi Kacem qui compte déjà plus de 50 bénéficiaires.

Campagne de sensibilisation de l’Association Marocaine de Lutte contre le Cancer : 02/06/2004  
L’Association Marocaine de Lutte Contre le Cancer a organisé du 17 au 22 mai 2004 sa Campagne Nationale de Sensibilisation. Le thème choisi cette année traite du Diagnostic Précoce des Cancers.
Un enjeu d’autant plus important que dans les formes tardives de la maladie, le traitement ne peut être que symptomatique pour soulager les patients.

En 16 mois, l’A.M.L.C.C, grâce au programme A.M.A.D (Assistance Médicale A Domicile) et grâce à la générosité de nombreux donateurs, a pu soulager à plus de 400 malades en leur apportant un certain confort dans cette phase finale de la maladie.

Journée de réflexion sur l'enfant handicapé mental : 02/06/2004  
L'association Nationale pour l'Avenir des Inadaptés Scolaires (ANAIS) a organisé samedi 15 mai, au siège de la Fondation Abdul-Aziz Al Saoud pour les études islamiques et les sciences humaines, une journée de réflexion sous le thème : " La prévention et l'Action précoce chez l'enfant handicapé mental ".

Cette manifestation, présidée par Mme Yasmina Baddou, secrétaire d'Etat chargée de la famille, de la solidarité et de l'action sociale, vise à développer les outils d'évaluation des handicaps mentaux et consacrer la culture d'intégration de l'enfant souffrant d'un handicap mental et surtout proscrire le regard social traditionnel basé sur le réflexe de l'exclusion.

Les intervenants ont souligné l’importance de l'action précoce pour permettre aux personnes concernées l'accès à l'enseignement fondamental et les aider à relever les défis de l'autonomie et la socialisation.
Pour réussir cette intégration, les spécialistes recommandent de prendre des mesures pour dépister le plus tôt possible les symptômes et signes de déficiences et entreprendre immédiatement une action curative ou corrective, qui peut prévenir l'incapacité ou du moins contribuer à en réduire sensiblement la gravité et, souvent, empêcher qu'elle ne devienne permanente. La détection précoce est en mesure d'assurer aux familles une éducation et une information adéquates, ainsi que la fourniture d'une assistance technique par les services médicaux et sociaux.

Selon des statistiques avancées par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et les organismes des Nations unies, près de 10% en moyenne de la population mondiale est atteinte d'une infirmité et 25% en subissent les conséquences.

« La Kasbah » : Association d’aide aux enfants en difficulté : 02/06/2004  
« Chaque enfant est acteur de son devenir, chaque enfant est une personne à part entière ». C’est la philosophie de Benhalima Hassan, président de l’Association « la Kasbah », une association à but non lucratif qui a pour mission l’aide aux enfants en difficulté.

Grâce à une équipe sociale composée d’éducateurs, d’une assistante sociale et d’un psychologue, « la Kasbah » s’efforce de mener à bien ses actions. Par sa méditation sociale et son action de proximité, l’Association compte agir sur les facteurs inducteurs de la situation de rue, notamment sur le chômage, l’analphabétisme, la pauvreté, la désintégration familiale, l’alcoolisme, le divorce, la violence.

L’Association recherche actuellement une aide pour l’acquisition d’un terrain destiné à la construction d’un centre d’accueil et services spécialisés, réservé aux enfants de la rue.

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